PHILOSOPHIE MORALE (VERSION LONGUE)

PHILOSOPHIE MORALE (VERSION LONGUE)

2nd Grade

15 Qs

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PHILOSOPHIE MORALE (VERSION LONGUE)

PHILOSOPHIE MORALE (VERSION LONGUE)

Assessment

Quiz

Philosophy

2nd Grade

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Emmanuel PEHAU

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15 questions

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1.

MULTIPLE CHOICE QUESTION

1 min • 1 pt

En philosophie, on désigne le concept de la liberté par le terme d'autonomie (= la capacité à se donner des règles par soi-même), définie en opposition avec le terme d'hétéronomie (= la nécessité où on se trouve d'adopter des règles venues de l'extérieur). Mais la liberté ne s'oppose pas seulement au fait d'être exclu de la source des règles que l'on a à suivre et de ne pas pouvoir se diriger soi-même, elle s'oppose aussi au fait d'être privé totalement de direction, de ne pas pouvoir (ou de ne pas savoir) s'appuyer sur des règles d'où qu'elles viennent.

Sur le plan moral, cet autre état opposé à l'état de liberté s'appelle :

Homonymie.

Anomie.

Hystérectomie.

Licence.

2.

MULTIPLE CHOICE QUESTION

1 min • 1 pt

Pour parvenir à la liberté comme expression de l'autonomie personnelle, il faut donc que notre conduite soit ferme, cohérente, intègre ; qu'elle ne change pas du tout au tout au gré des circonstances, au gré des revirements de notre environnement naturel ou social. Savoir comment y parvenir revient donc à comprendre comment l'individu peut se doter de force de caractère. (Ou, en termes plus littéraires : comment il peut s'armer de vertu.)

Ce pourquoi, en philosophie, l'étude des sources et des formes rationnelles de la moralité s'appelle :

L'éthique.

La diététique.

La déontologie.

La censure.

3.

MULTIPLE CHOICE QUESTION

3 mins • 1 pt

Pour faciliter l'exercice de la vertu, il faut pouvoir nous appuyer sur des règles qui possèdent un caractère de certitude, qui possèdent une forme de nécessité (naturelle ou structurelle), afin que nous puissions nous appuyer sur elles avec assurance, peut-être même avec entrain. Des règles aussi, qui possèdent un caractère de simplicité (par opposition à la sophistication des "codes" sociaux ou légaux) afin que nous puissions les trouver ou les retrouver par nous-même et ne pas dépendre du jugement d'autrui.

Une règle de cette sorte s'appelle :

Loi.

Principe.

Norme.

Concept.

4.

MULTIPLE CHOICE QUESTION

1 min • 1 pt

CHERCHEZ L'INTRUS.

Parmi les termes conceptuels suivants, lequel ne désigne pas une famille de "règles premières".

Impératif catégorique.

Valeur existentielle.

Usage traditionnel.

Critère naturel.

5.

MULTIPLE CHOICE QUESTION

3 mins • 1 pt

À côté des règles qui "s'imposent d'elles-mêmes" à notre esprit parce qu'elles expriment sa propre force, il y a celles que nous laissons s'imposer "comme d'elles-mêmes" parce que la vie de l'esprit semble se confondre avec leur efficacité (règles de la culture, transmise par l'éducation, les échanges...), les règles de la moralité effective (qui est ce que le langage courant appelle "les moeurs" ou, de façon plus brutale, "la morale"). Et face à ces deux ordres de règles, il y a les règles qui ne peuvent manquer de paraître à la fois hétéronomes et arbitraires, tant leur contenu est obscur, mystérieux à force de sophistication, voire d'ésotérisme - quand elles ne revendiquent pas franchement un caractère mystique et une source transcendante.

Une règle de ce type s'appelle :

Requisit.

Canon.

Chicane.

Arcane.

6.

MULTIPLE CHOICE QUESTION

5 mins • 1 pt

CHERCHEZ L'INTRUS.

En philosophie, on peut donc rejeter comme contraires à l'éthique certains comportements qui peuvent se trouver considérés comme moraux d'un point de vue profane ou "désarmé", mais qui ne peuvent coïncider avec la moralité que par accident, soit que le sujet y dissimule son incapacité à savoir "se tenir" par lui-même en l'absence de sanction (manque de vertu, attitude licencieuse), soit qu'il s'y montre trop capable de "se tenir" sans même chercher à savoir "à quoi il tient" (manque de principes, hétéronomie relative), soit parce que la "règle de vie" qu'il y applique, à laquelle il se tient, lui sert justement à ne plus vivre, ne plus "être là", lui permet de faire comme s'il n'en allait plus de lui-même dans ses choix (hétéronomie radicale, abolition de soi).

Sachant cela, laquelle des appellations ci-dessous ne sert pas à désigner une attitude philosophiquement immorale ?

Le relativisme moral (ou la "morale provisoire").

L'opportunisme.

Le conformisme (ou la "morale d'emprunt").

Le fanatisme moral .

7.

MULTIPLE CHOICE QUESTION

1 min • 1 pt

CHERCHEZ L'INTRUS.

Parmi toutes ces oppositions, laquelle ne relève pas de la moralité rationnelle ni même de la moralité effective, mais de l'approche mystique de la moralité ?

Le mesuré et le violent.

Le bien et le mal.

Le singulier et l'indifférent.

Le normal et le pathologique.

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