MANAGEMENT - CEJM

Cochez la bonne définition de la compétence collective

• il s'agit d'une juxtaposition de compétences individuelles qui concourent à la réalisation du travail confié par les différents responsables
• il s'agit d'un ensemble de compétences individuelles détenues par un groupe et dont la cohésion et la coopération permettent d'atteindre un objectif

Peut-on affirmer, à la suite de Maslow, que la satisfaction des besoins de survie et de sécurité ne génère pas de motivation, mais leur insatisfaction génère de la démotivation

• vrai
• Faux

La gestion des millennials et des digital native est de même nature que les autres tranches d'âges des salariés.

• c'est vrai, la gestion des ressources humaines est identique pour tous
• c'est faux, ce sont des personnes spécifiques, qui nécessitent une GRH adaptée

La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences (GPEC) est obligatoire dans les entreprises de plus de

• 500 salariés
• 250 salariés
• 300 salariés

Avec la théorie de l'équité, un salarié se compare

• à lui-même uniquement
• à lui-même et aux autres salariés

L'écart entre les besoins en ressources humaines et les orientations stratégiques entraine un plan d'action avec deux volets :

• un volet technique (se doter des meilleurs équipements)
• un volet quantitatif (volume d'emplois nécessaire)
• un volet organisationnel (création d'une structure adaptée au personnel)
• un volet qualitatif (qualifications nécessaires)

Citez deux auteurs qui ont travaillé sur le management des talents

• Prahalad et Hamel
• Jensen et Meckling
• Thévenet et Dejoux

La pyramide des besoins de Maslow est hiérarchisée. Cocher la bonne hiérarchisation des besoins (vers ceux qui sont supérieurs)

• besoin de sécurité (stabilité de l'emploi), puis besoin de survie (une rémunération minimale permettant de satisfaire les besoins physiologiques), puis d'appartenance (à un groupe de travail, un service, un atelier), puis d'estime (de ses pairs ou de son supérieur hiérarchique), puis de réalisation de soi dans le travail (être heureux au travail !)
• besoin de survie (une rémunération minimale permettant de satisfaire les besoins physiologiques), puis de sécurité (stabilité de l'emploi), puis d'appartenance (à un groupe de travail, un service, un atelier), puis d'estime (de ses pairs ou de son supérieur hiérarchique), puis de réalisation de soi dans le travail (être heureux au travail !)
• besoin de survie (une rémunération minimale permettant de satisfaire les besoins physiologiques), puis de réalisation de soi dans le travail (être heureux au travail !), puis d'appartenance (à un groupe de travail, un service, un atelier), puis besoin de sécurité (stabilité de l'emploi), puis d'estime (de ses pairs ou de son supérieur hiérarchique)

La théorie de l'équité de John Stacey Adams peut être résumée avec le ratio suivant

• Avantages (retirés en termes de rémunération, de reconnaissance...) / Contribution (efforts fournis...)
• Contribution (efforts fournis...) / Avantages (retirés en termes de rémunération, de reconnaissance...)

La GPEC est-elle adaptée à la mondialisation des entreprises notamment pour les emplois qualifiés ?

• non, la GPEC met l'accent sur la compétence, souvent standardisée, et facilement copiée. Les grandes firmes mondialisées se focalisent plutôt sur la gestion des talents individuels, rares, difficilement imitables.
• oui, la GPEC a pour objectif de trouver des personnes compétentes (recrutements) ou de former les salariés actuels pour les faire monter en compétences, afin de répondre aux besoins des firmes mondialisées.